vendredi 18 septembre 2009

Signes avant-coureurs


Le vent qui déshabille les églantines...


...chuchote aux pommes des phrases coquines, met du rouge à leurs joues...


Les petits matins qui frissonnent, les jours qui ne s'attardent pas...


Le chant des oiseaux qui n'est plus qu'un cri...

Il est des signes qui ne trompent pas.
Rangées mes tongues, envolé mon chapeau de paille, Hasta Vista la siesta!



Voilà l'automne qui arrive. Il est presque là.



Je vous embrasse et profite de l'aubaine pour remercier Babette et Suzanne qui s'inquiétaient de ma paresse estivale et Isabelle qui continue de me prêter sa porte.
Anne